Peintures Barbares


Lieu-Commun, Toulouse, du 23 septembre au 11 novembre 2022

Exposition collective avec Debby Barthoux, Morgane Bertrande, Julien Bouillon, Catherine Branger, Tatiana Defraine, Jean Denant, Noël Dolla, Mickaël Duval, Valérie du Chéné et Régis Pinault, Philippe Fangeaux, Pierre Fisher, Adrien Fregosi, Thibault Gaudry, Philippe Hortala, Chad Keveny, Rébecca Konforti, Sam Krack, Jeanne Lacombe, Maurane Leder, Alex Less, Valéry Lorenzo, Arnaud Loumeau, Mathilda Marque Bouaret, Lori Marsala, Sarah Melen, Nicolas Milhé, Marion Mounic, Frédéric Périmon, Marianne Plo, Manuel Pomar, Pacôme Ricciardi, Guilhem Roubichou, Romain Ruiz‑Pacouret, Katharina Schmidt, Cédric Teisseire, Tilt, Jeanne Tzaut, Béatrice Utrilla, Christian Vialard et Marie Zawieja

Invitation de Manuel Pomar

Collaboration avec Rébecca Konforti, Manuel Pomar, Romain Ruiz‑Pacouret et Katharina Schmidt



Crédit photos Damien Aspe et Emmanuel Simon

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Pour Peintures Barbares, Manuel Pomar nous a invités à travailler collectivement autour des zones d’usages de Lieu‑Commun en utilisant un médium qui nous est cher : la peinture murale.

Au cœur de l’été durant un moment de production collective, nous avons, dans un premier temps, discuté des réponses que chacun·e envisageait et des espaces d’interventions les plus propices. Puis, nous sommes intervenu·es dans ces espaces avec nos propres méthodes de travail, en restant ouvert·es à la participation des autres.

Ainsi, Emmanuel Simon s’est approprié le cache poubelle de la cours de Lieu-Commun pour y réaliser une peinture du rideau métallique. Une fois celle‑ci terminée il a laissé carte blanche aux autres membres du collectif éphémère afin qu’ils et elles s’en emparent et interviennent dessus.

Au‑delà de ces propositions plus personnelles, ces échanges nous ont donné envie de réaliser une peinture ensemble et de développer un protocole de travail pour nous emparer d’un des murs derrière le bar.

Nous avons alors repris la grille de Romain Ruiz‑Pacouret en sélectionnant chacun·e un outil pour remplir les espaces laissés libres à l’aide de traces inspirées de la proposition de Katharina Schmidt – leur superposition recouvrant finalement l'intégralité du mur.

Dans la continuité de nombreuses collaborations entre les différentes artistes du groupe, ce travail est une première coopération en vue d’un projet s’inscrivant dans un temps plus long, L’espace en question.

Rébecca Konforti, Manuel Pomar,
Romain Ruiz‑Pacouret, Katharina Schmidt,
Emmanuel Simon