Mare Liberum
Dérive(s)
46m², Lille, du 18 au 27 juin 2021
Exposition collective avec Lana Duval, Louise Charbonnier et Eunji Choi
Collaboration avec Florence Bazin, Corine Caulier, Gilles Elie, Galerie Rezeda, Mélissa Godbille, Lucie Herlemont, Rébecca Konforti, Marion Lebbe, David Leleu, Philippe Lipka, Michael Lilin, Manon Thirriot et Julien Verhaeghe
Mare Liberum est un objet hybride, un mélange non défini entre un espace d’exposition, une œuvre collective, une édition, un fanzine, un catalogue d’exposition... Il contient des projets aux ramifications plus ou moins grandes, passant d’œuvres réalisées par une seule personne à des projets comprenant trois, quatre, voire cinq artistes.On y trouve des appropriations, des copies et des collages, c’est un questionnement sur l’espace d’exposition et sur celui de la page.
Mare Liberum mêle sans distinction quatorze artistes, amateur·es, étudiantes et professionnel·les, et est exposé à la fois dans un lieu institutionnel, le Frac Grand Large, et dans la cave d'une étudiante curatrice, 46m². Ce qui traduit deux notions chères aux membres du groupe : la déhirarchisation et la remise en cause des statuts. Passant de mains en mains et évoluant au gré des discussions, cet objet est le produit d’un ensemble continu de dérives, depuis le début de la seconde édition de la résidence Archipel en 2018, et jusqu’à la disparition des 2700 exemplaires de Mare Liberum.
→ La version numérique de Mare Liberum
→ Une conférence à l'ESÄ Dunkerque
→ D'autres aspects de nos collaborations sur Documents d'artistes Occitanie
Dérive(s)
46m², Lille, du 18 au 27 juin 2021
Exposition collective avec Lana Duval, Louise Charbonnier et Eunji Choi
Collaboration avec Florence Bazin, Corine Caulier, Gilles Elie, Galerie Rezeda, Mélissa Godbille, Lucie Herlemont, Rébecca Konforti, Marion Lebbe, David Leleu, Philippe Lipka, Michael Lilin, Manon Thirriot et Julien Verhaeghe
Crédit photos Hannah Bayne
Mare Liberum est un objet hybride, un mélange non défini entre un espace d’exposition, une œuvre collective, une édition, un fanzine, un catalogue d’exposition... Il contient des projets aux ramifications plus ou moins grandes, passant d’œuvres réalisées par une seule personne à des projets comprenant trois, quatre, voire cinq artistes.On y trouve des appropriations, des copies et des collages, c’est un questionnement sur l’espace d’exposition et sur celui de la page.
Mare Liberum mêle sans distinction quatorze artistes, amateur·es, étudiantes et professionnel·les, et est exposé à la fois dans un lieu institutionnel, le Frac Grand Large, et dans la cave d'une étudiante curatrice, 46m². Ce qui traduit deux notions chères aux membres du groupe : la déhirarchisation et la remise en cause des statuts. Passant de mains en mains et évoluant au gré des discussions, cet objet est le produit d’un ensemble continu de dérives, depuis le début de la seconde édition de la résidence Archipel en 2018, et jusqu’à la disparition des 2700 exemplaires de Mare Liberum.
Marion Lebbe et Emmanuel Simon
→ La version numérique de Mare Liberum
→ Une conférence à l'ESÄ Dunkerque
→ D'autres aspects de nos collaborations sur Documents d'artistes Occitanie